La version internationale de l’application novatrice de rééducation des patients anosmiques post-covid est mise à disposition dès aujourd’hui par la société Kelindi, à l’origine du site maladiecoronavirus.fr avec 14 millions d’utilisateurs.

La version française de l’application (accessible sur covidanosmie.fr) a déjà fait ses preuves. Parmi le millier de patients souffrant d’anosmie de longue durée, près de 71% rapportent une amélioration de leur trouble avec 14 jours de rééducation en moyenne. Le site français a été lancé en janvier 2021. C’est désormais la référence en France et il est régulièrement recommandé par les ORL.

Déclinée en version anglophone, germanophone et italophone, cette version internationale est accessible à tout internaute sur https://covidanosmia.eu.

Conçue par le Professeur Fabrice Denis sur la base du protocole imaginé par l’association de patients ANOSMIE.ORG et validée par un board d’experts (ORL et neurobiologistes), cette app accompagne les patients avec un protocole de rééducation à la maison et les aide à évaluer leurs résultats.

La démarche de conception centrée patient a impliqué dès le début de l’aventure l’association présidée par M. Jean-Michel Maillard en collaboration avec le laboratoire de biologie adaptative du Dr Hirac GURDEN, directeur de recherche en neurosciences au CNRS.

Le fonctionnement de l’app et du protocole est simple :

  1. Utilisation en olfaction bi-quotidienne de 5 huiles essentielles à haute concentration, regroupées dans un produit facile d’accès : le SMELLING TRAINING KIT de la société allemande URBAN SCENTS
  2. Une application pour consigner ses progrès et visualiser ces derniers.
  3. Une stimulation visuelle délivrée par l’application permettant d’accélérer la régénération des circuits neuronaux olfactifs endommagés par le virus.

L’étude des premiers résultats en France rejoint les résultats d’une étude randomisée de 2014 qui montrait 63% de récupération à 16 semaines de rééducation dans des anosmies persistantes après infections virales — grippe, autres virus — alors qu’elle n’était que de 20% spontanément sans rééducation. Une publication scientifique et une thèse de médecine seront réalisées avec les résultats finaux de l’étude, attendus dans 3 mois.

L’abonnement au coaching de rééducation est gratuit pour les utilisateurs qui auront passé commande via covidanosmia.eu. Une consultation médicale est recommandée à tous les patients avant de débuter le protocole, afin de s’assurer que le protocole soit parfaitement adapté à la pathologie qui les concerne.

 


 

À propos de Kelindi

Cette startup lilloise, dirigée par Florian Le Goff et Fabrice Denis, est spécialisée dans le domaine de la e-santé prédictive. Ses dispositifs, cliniquement pertinents, ont l’ambition d’accompagner les phases transitoires cruciales de la vie (bien grandir et bien vieillir) et d’être accessibles à tous n’importe où et n’importe quand.

Pour cela, nous proposons des dispositifs permettant la détection précoce d’un ensemble de pathologies, en lien étroit avec leur ressenti personnel.

Kelindi a déjà réalisée maladiecoronavirus.fr, système d’orientation intelligent qui a aidé 14 millions d’utilisateurs en 12 mois avec un effet démontré sur la baisse des appels inutiles au 15 : huit fois moins d’appels inutiles au 15 ont été noté grâce à cette application, la plus utilisée en e-santé. (résultats publiés dans la revue JMIR en 2020).

Kelindi continue de croître et d’innover à travers son modèle prédictif qui rend accessible aux patients une meilleure expertise médicale, sur l’ensemble des territoires, même ceux les plus éloignés des spécialistes.

Contact : Florian Le Goff, hello@kelindi.com, +33 3 66 72 59 06

 

À propos de l’association ANOSMIE.ORG :

L’association créée en novembre 2017 est composée de 22 ambassadeurs du monde scientifique, médical, paramédical, médiatique mais aussi de bénévoles venant en soutien aux personnes. Elle apporte des réponses et du soutien au quotidien à tous ceux qui souffrent. Elle met à disposition gratuitement tous ses travaux depuis sa création. Ses objectifs sont nombreux comme par exemple la création d’un test de l’odorat chez les enfants lors de leur visite médicale scolaire mais aussi la réhabilitation du sens de l’odorat et ainsi le développement de la culture olfactive en France.

Contact : Jean-Michel Maillard, jm.maillard@anosmie.org, +33 6 48 13 02 14

 

À propos de UrbanScents :

Créé en 2014 entre Paris et Berlin, Marie Urban Le Febvre, parfumeur-créateur et Alexander Urban sont les créateurs éponymes de la marque et maison de composition de parfums Urban Scents.

Synonyme de savoir-faire, excellence, transparence et créativité, le parfumeur maison prête avec plaisir sa plume pour divers projets allant de créations de parfums pour d’autres marques, des signatures olfactives de lieux, des voyages historiques olfactifs pour des musées etc.. mais ce qui tient le plus à cœur aux deux fondateurs sont les projets qui donnent du sens aux odeurs. Pour cette raison, Marie et Alexander Urban partagent leur savoir dans des projets de coopération avec des cliniques et pour des études scientifiques qui se concentrent sur l’influence positive qu’ont les odeurs sur le processus de guérison des anosmiques par exemple, mais aussi le rôle qu’elles jouent sur le bien-être général des personnes.

En 2014, Marie Urban Le Febvre, parfumeur-créateur et Alexandre Urban fondent la marque éponyme de parfums Urban Scents.

Aujourd’hui, la coopération avec des scientifiques et des cliniques va amener Marie et Alexandre Urban à se concentrer sur les effets positifs que peuvent avoir les odeurs sur le processus de guérison des anosmiques (perte d’odorat) et, au-delà, sur le bien-être général des personnes.

Contact : Alexander Urban urban@urbanscents.de +49 17 8420 4477

Marie Urban Le Febvre marie@urbanscents.de +49 159 0104 9818

www.urban-scents.com

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La revue Journal of Neuro-Oncology a publié samedi 20 mars 2021 les premiers résultats cliniques de la technologie développée par Hemerion pour le traitement du glioblastome, l’un des cancers du cerveau les plus répandus et les plus agressifs.
Ces résultats démontrent la très bonne tolérance du traitement et sont très encourageants au niveau de l’efficacité : une validation qui ouvre la voie aux essais cliniques de phase II.

Avec plus de de 25 000 nouveaux diagnostics par an en Europe et aux Etats-Unis et une durée médiane de survie de 15 mois, le glioblastome est un problème de santé publique majeur.

Les traitements actuels visent la destruction de la tumeur avec la combinaison de trois modalités : la chirurgie (résection de la tumeur), la chimiothérapie et la radiothérapie. Ces traitements ralen- tissent la progression de la tumeur sans pouvoir l’éradiquer complètement : ils endommagent des cellules saines et laissent en place des cellules tumorales qui provoquent des récidives et réduisent l’espérance de vie des patients.

La technologie proposée par Hemerion pour le traitement du glioblastome repose sur la com- binaison inédite d’un médicament photosensibilisateur et d’un dispositif photonique innovant : lumière laser spécifique et matériel d’illumination adapté à la chirurgie du cerveau.
Son objectif : détruire les cellules cancéreuses résiduelles, en complément des traitements exis- tants pour éviter les récidives, allonger la survie et améliorer la qualité de vie.

Les résultats publiés par Journal of Neuro-Oncology portent sur l’essai clinique de phase I (éva- luation de la faisabilité et de la toxicité) intitulé INDYGO (intraoperative photodynamic therapy for glioblastomas). L’essai a été mené par une équipe de recherche de l’Université de Lille et de l’INSERM (le laboratoire Onco THAI U1189) et le service de neurochirurgie du Centre Hospitalier Universitaire de Lille, promoteur de l’étude clinique INDYGO.

Il portait sur 10 patients atteints d’un glioblastome récemment diagnostiqué, traités entre mai 2017 et juin 2018 au Centre Hospitalier Universitaire de Lille.

Ce traitement, aujourd’hui développé par Hemerion, a été appliqué au cours des opérations chirurgicales visant à retirer la tumeur. Les patients recevaient quelques heures avant l’opération une dose de photosensibilisateur, une molécule pharmaceutique qui pénètre et s’accumule dans les cellules cancéreuses, mais est éliminée par les cellules saines.

Au cours de l’intervention chirurgicale, après la résection de la tumeur, le dispositif photonique diffuse une lumière laser spécifique, qui active le photosensibilisateur et provoque des réactions qui aboutissent à la destruction des cellules cancéreuses. La tumeur est éliminée partout où la lumière pénètre.

Les patients ont été suivis tous les 3 mois suite à l’opération par les équipes du CHU de Lille, afin de vérifier la sécurité du traitement, sa tolérance et réaliser une première évaluation de son effi- cacité.
Les résultats sont très positifs sur la sécurité et la tolérance du traitement : aucun effet secondaire lié au traitement n’a été enregistré.

D’autre part, cette étude montre des premiers résultats d’efficacité très encourageants : on ob- serve pour la moitié des patients traités une survie sans progression supérieure à 17 mois et d’une survie globale supérieure à 23 mois.

Ces constats permettent à Hemerion de lancer rapidement des essais cliniques plus poussés pour évaluer précisément l’efficacité de ce traitement innovant.

 


Contact

Maximilien VERMANDEL, Fondateur dirigeant d’Hemerion

contact@hemerion.com

Tél.+33(3)59824668

 


À propos d’Hemerion

www.hemerion.com

Hemerion a été créée en 2020, au terme de plus de 10 ans de recherches académiques menées au sein d’un laboratoire de l’INSERM associé à l’Université de Lille et au CHU de Lille. L’entreprise réunit des profils complémentaires : physiciens et chirurgiens, pour développer des solutions thérapeutiques innovantes, à la croisée des deux disciplines.

La technologie développée par Hemerion permet de compléter les traitements de chirurgie, de radiothérapie et de chimiothérapie. Elle est particulièrement prometteuse dans le traitement du cancer du cerveau le plus répandu et le plus agressif : le glioblastome.

A propos du Centre Hospitalier Universitaire de Lille

www.chu-lille.fr

Avec près de 16 000 professionnels et 11 hôpitaux groupés sur un même campus, le Centre Hos- pitalier Universitaire de Lille est l’un des 4 plus grands CHU de France, et l’un des plus importants

du Nord de l’Europe. Hôpital de recours, d’enseignement, d’innovation et de recherche, il prend en charge en hospitalisation ou en soins externes 1,4 millions de patients chaque année, grâce à un plateau médico-technique de pointe, et une expertise médicale spécialisée dans de nombreux domaines.

À propos de l’Université de Lille

www.univ-lille.fr

L’Université de Lille est l’une des plus grandes universités francophones. Elle rassemble une com- munauté de près de 75 000 étudiants et plus de 6 200 personnels. Avec plus de 62 unités de recherche, elle est un acteur majeur de la région Hauts-de-France en recherche et innovation. En particulier, au travers de la Fondation de l’Université de Lille, elle participe activement aux projetsde recherches, notamment médicaux, dont elle s’attache à diffuser et valoriser les résultats.

A propos d’OncoThAI

www.oncothai.fr

OncoThAI est une unité de recherche fondamentale et clinique qui associe l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) et le Centre Hospitalier Universitaire de Lille. Elle est spécialisée dans les thérapies assistées par lasers et l’immunothérapie. Ses recherches visent à développer des approches innovantes pour le traitement des cancers en impasse thérapeutique.

L’article de Journal of Neuro-Onology :

https://link.springer.com/epdf/10.1007/s11060-021-03718-6?sharing_token=SsTDi90SICeS1[…]5EhgHkXFbPZB- DIIWqGk8-GUA-kUfrMIwdYPlYKEOuv0x9Mj353_fHYExY%3D

https://link.springer.com/article/10.1007/s11060-021-03718-6

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La tuberculose est un fléau considérable depuis l’antiquité. La lutte contre cette maladie nécessite des technologies toujours plus performantes. GenoScreen, une biotech française, propose depuis peu une nouvelle arme pour prédire les résistances aux antibiotiques des germes responsables de cette maladie. Ce nouveau test, qui se présente sous la forme d’un kit, détecte, rapidement et efficacement, dans l’ADN des germes pathogènes, les mutations génétiques en cause et guide les médecins dans leurs prescriptions médicales. Ce test est déjà en phase d’implémentation dans une trentaine de pays.

La tuberculose, un fléau toujours actuel

Avec 10 millions de nouveaux cas par an, et 1,4 million de morts en 2019, la tuberculose reste la maladie infectieuse bactérienne la plus mortelle au monde. Elle figure encore aujourd’hui parmi les 10 premières causes de mortalité dans le monde. Parmi les maladies dues à un agent infectieux unique, la tuberculose est celle qui est à l’origine du plus grand nombre de décès (devant le VIH). Elle se soigne en utilisant de lourdes thérapies combinant le plus souvent plusieurs antibiotiques sur de longues périodes (près de 6 mois le plus souvent).

La dissémination croissante de souches tuberculeuses résistantes et multirésistantes aux antibiotiques accentue la menace sanitaire dans de nombreux pays. Ces résistances rendent les traitements de moins en moins efficients, jusqu’à conduire à des impasses thérapeutiques (absence totale de solution de traitement). En 2019, plus de 200 000 cas de tuberculose résistante à la rifampicine (antibiotique de 1re ligne utilisé dans le traitement de cette infection) ou multirésistante, ont été détectés dans le monde, soit une augmentation de 10 % par rapport à 2018. Ces cas ne sont que la part visible de cette pandémie, faute de moyens efficaces pour les détecter. L’OMS, dans son rapport 2018 sur la tuberculose estime que le diagnostic précoce de la tuberculose et de ses possibles résistances aux traitements est une clef essentielle de la lutte contre la tuberculose.

Deeplex® Myc-TB, une avancée déterminante pour combattre la tuberculose

Ce test de prédiction de l’antibiorésistance du germe Mycobacterium tuberculosis, à la fois, précis et rapide (Les résultats sont obtenus en moins de 48h), tire parti des technologies de séquençage de masse. Il ne nécessite pas d’étape de culture préalable. La mise au point de ce test a nécessité le séquençage de 10.000 souches provenant de 16 pays répartis sur les cinq continents. Des études scientifiques internationales mettent en lumière ses qualités et son efficacité.

  • Mohamed S, Köser CU, Salfinger M, et al. Targeted next-generation sequencing: a Swiss army knife for mycobacterial diagnostics?, Eur Respir J 2021; 57: 2004077
  • Kambli P, Ajbani K, Kazi M, et al. Targeted next generation sequencing directly from sputum for comprehensive genetic information on drug resistant Mycobacterium tuberculosis, Tuberculosis, 2021, 127:102051
  • Feuerriegel S, Kohl TA, Utpatel C, et al. Rapid genomic first- and second-line drug resistance prediction from clinical Mycobacterium tuberculosis specimens using Deeplex®-MycTB. Eur Respir J. 2021; 57(1):2001796
  • El Achkar S, Demanche C, Osman M, et al. Zoonotic tuberculosis in humans assessed by next- generation sequencing: an 18-month nationwide study in Lebanon. Eur Respir J. 2020; 55: 1900513
  • Ngabonziza J.C.S., Loiseau C., Marceau M., et al. A sister lineage of the Mycobacterium tuberculosis complex discovered in the African Great Lakes region. Nat Commun. 2020; 11:2917
  • Jouet A, Gaudin C, Badalato N, et al. Deep amplicon sequencing for culture-free prediction of susceptibility or resistance to 13 anti-tuberculous drugs. Eur Respir J. 2020; 2002338
  • Ng KCS, Supply P, Cobelens FGJ, et al. How well do routine molecular diagnostics detect rifampin heteroresistance in Mycobacterium tuberculosis? J Clin Microbiol. 2019; 57:e00717-19.
  • El Achkar S, Demanche C, Osman M, et al. Drug-Resistant Tuberculosis, Lebanon, 2016 – 2017. Emerg Infect Dis. 2019; 25(3):564-568
  • Makhado N.A., Matabane E., Faccin M., et al. Outbreak of multidrug-resistant tuberculosis in South Africa undetected by WHO-endorsed commercial tests: an observational study, Lancet Infect Dis. 2018; 18(12):1350-1359
  • Tagliani, E., Hassan, M.O., Waberi, Y. et al. Culture and Next-generation sequencing-based drug susceptibility testing unveil high levels of drug-resistant-TB in Djibouti: results from the first national survey. Sci Rep. 2017: 7:17672

Avec ce test diagnostique, très innovant, c’est l’engagement de GenoScreen dans la lutte contre cette pandémie qui se concrétise.

 


Contact presse

Aurélien FALCOT, Chargé de Communication, GenoScreen : aurelien.falcot@genoscreen.com — 03 59 31 74 02

 


À propos de GenoScreen

GenoScreen est une société française de biotechnologies créée en 2001, spécialisée en génomique et en bioinformatique. Sa stratégie d’innovation par la recherche lui permet de proposer des services et des solutions innovantes aux équipes de recherche académiques et industrielles pour analyser et exploiter les caractéristiques de l’ADN de tout type de génome et de métagénome.

Son portefeuille d’activités est organisé en 3 pôles :

  • Un pôle Services qui réalise des prestations d’analyse standardisées et à façon, sous qualité ISO, de tout type de génome (humain, animal, végétal, microbien).
  • Un pôle Expertises qui répond aux besoins d’études et de conseils d’entreprises qui développent des projets en lien avec la génomique. GenoScreen est particulièrement reconnue pour son expertise dans l’analyse des génomes et des métagénomes microbiens,
  • Un pôle Innovations qui produit et commercialise des solutions et outils d’analyse et de contrôle qui répondent aux besoins de divers secteurs d’activité (santé, cosmétique, agroalimentaire, agronomie, environnement…).

Sa mission : Maîtriser l’information génomique au service de la Santé de l’Homme et de son Environnement.

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L’innovation chez Johnson & Johnson est motivée par le désir d’avoir un impact positif sur la santé humaine par l’innovation. Au cours de cet événement de partenariat virtuel, des représentants de Johnson & Johnson Innovation donneront un aperçu de la manière dont ils travaillent côte-à-côte avec les innovateurs et les entrepreneurs, afin de générer des solutions de transformation des soins de santé par le biais de partenariats et de collaborations.

Au programme :

  • 26 mai (matin) : Webinaire – présentation du modèle de collaboration avec Johnson & Johnson Innovation et exemples de collaboration en France
  • 26 mai (après-midi) et 27 mai : rendez-vous B2B avec l’équipe de Johnson & Johnson Innovation pour une sélection de projets, date limite d’inscription 14 avril

(voir critères de candidature)

 

Avec les interventions de :

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Rencontre avec Thibaud Severini Market Leader – Startups/Innovative solutions & Healthcare, chez Matra Électronique

« Chez Matra Electronique, nous aimons travailler sur des projets d’innovation utiles pour la société, qui font sens et qui sont au service de l’homme et de son écosystème. »

Pouvez-vous nous expliquer, en quelques mots, la finalité de votre entreprise ?

Matra Électronique est spécialisé dans la production de systèmes électroniques de haute technicité. Nos équipements sont destinés à être intégrés dans des applications pour des environnements exigeants, à forte contrainte physique. Nous recherchons et apportons des solutions électroniques adaptées aux niveaux d’expertise et de fiabilité recherchés par nos clients. Nous les accompagnons à chaque étape de leur projet : de la conception à l’assemblage des équipements fabriqués au sein de nos ateliers.

Quels sont vos prochains projets ?

Matra Électronique a participé ces dernières années à plusieurs projets collaboratifs et innovants dédiés au monde de la santé et notre objectif est de poursuivre dans cette voie. Notre volonté est d’être encore plus présents sur ce marché, et c’est pour cela que nous menons des actions comme la certification ISO13485, ou encore notre adhésion au Clubster NSL. Nous sommes toujours à l’écoute de l’évolution des besoins de nos clients comme en témoigne notre démarche « start-up attitude ». Nous avons initié cette action pour répondre à la demande croissante d’accompagnement de jeunes structures innovantes que cela soit des start-ups ou des PME innovantes.

Bien évidemment, nous avons beaucoup d’autres projets dont la poursuite de notre stratégie industrielle très portée sur l’innovation. Elle s’appuie sur notre roadmap « usine du futur », qui couvre tous les aspects de notre développement au sens large : évolution de notre parc machines, supervision industrielle, ingénierie collaborative, etc.

Qu’est-ce que vous qualifieriez comme votre plus grande fierté ou réussite ?

Nous sommes très fiers d’avoir co-développé le premier cœur artificiel bioprothétique autorégulé avec Carmat. Nous sommes aussi fiers d’accompagner le CEA LETI sur les phases pré-essais cliniques puis essais cliniques et la conception d’implants cérébraux pour aider au pilotage d’exosquelettes par des personnes paraplégiques. Par ailleurs, nous travaillons sur d’autres projets innovants qui requièrent une expertise électronique que ce soit les dispositifs de mesures de DAS, les IOT médicaux ou encore le projet GALIDOG qui permet aux déficients visuels de se déplacer de façon autonome sur de nouveaux trajets.

Nous aimons travailler sur des projets d’innovation utiles pour la société, qui font sens et qui sont au service de l’homme et de son écosystème. 

Quelles répercutions a eu la crise de la COVID sur votre entreprise ?

Au démarrage de la crise Covid-19, la Direction de Matra Électronique s’est rapidement interrogée sur l’aide que nous pouvions apporter aux personnels de santé locaux confrontés à la pénurie de masques et de protection. Nous avons distribué plus de 10 000 masques chirurgicaux à 6 EHPAD du territoire. Dans le même temps, nous avons remis au Centre Hospitalier de Compiègne notre stock de blouses de protection à usage unique et nous avons apporté un soutien matériel à nos salariés membres du mouvement Visières Solidaires qui a fabriqué des dizaines de milliers de visières de protection pour les professionnels de santé de l’Oise.

En interne, la Direction a rapidement mis en place toutes les mesures sanitaires nécessaires à l’accueil de nos salariés en toute sécurité sur le site : commande de désinfectant, de masques, de protection, distanciation des postes de travail etc.
Aujourd’hui encore et jusqu’à la fin de cette pandémie, notre cellule de crise Covid-19 demeure à la disposition permanente des salariés et veille à maintenir un haut niveau de sécurité sanitaire dans l’ensemble de nos ateliers.

*Mouvement social français pour la production de visières dans le contexte de la pandémie de COVID-19

Pourquoi êtes-vous membre de Clubster NSL, qu’est-ce que cela vous apporte et qu’apportez-vous aux membres ?

Nous avons rejoint Clubster NSL pour étendre notre réseau de partenaires pluridisciplinaires dans le domaine médical et e-santé, secteurs d’activité que nous souhaitons développer. En retour, nous proposons d’apporter notre expertise en conception et développement de dispositifs médicaux qui requièrent de l’électronique.

Grâce à Clubster NSL, nous avons pu participer à la convention d’affaires MedFIT, nous avons aussi été mis en relation avec Medicen Paris pour l’appel à manifestation d’intérêt CAVITIES. Cette démarche encourage la mise sur le marché, à terme, de nouveaux dispositifs pour l’accompagnement des pathologies cardio-vasculaires. En quelques mois, les actions apportées par Clubster NSL ont été riches.

Nous sommes ravis de pouvoir bénéficier du réseau et rencontrer de futurs partenaires. Nous sommes à leur écoute pour tous les besoins en expertise électronique (prototypage, pré-essai clinique, essai clinique, mise sur le marché). Nous sommes implantés en Hauts-de-France ce qui nous permet d’avoir des interactions privilégiées avec les acteurs de la région ainsi que ceux de la région parisienne. De plus, nous disposons d’une « salle blanche », indispensable pour la conception de dispositifs médicaux comme des implants par exemple.

Comment définiriez-vous Clubster NSL en 3 mots ?

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Huit projets de Fédérations Hospitalo-universitaires ont été retenus dans le cadre de l’appel à projet porté par le G4, composé
des CHU d’Amiens, Caen, Lille et Rouen , par l’Inserm ainsi que par ses partenaires universitaires de l’Inter région Nord-Ouest.

Labellisés par AVIESAN, ces huit nouvelles Fédération Hospitalo-Universitaires, sont en cours d’installation au sein de l’Inter région Nord-Ouest pour une période de 5 ans.

Leur enjeu est notamment d’amplifier la dimension interrégionale et interdisciplinaire de la recherche et de répondre à des problématiques de santé publique majeur sur notre territoire.

Les gouvernances des 4 CHU, composées des Directeurs Généraux, Présidents de CME et Doyens de faculté de médecine,
s’accordent sur « la grande qualité de la procédure qui a permis de sélectionner des projets très prometteurs. L’attribution de ce
label FHU a pour objectif de soutenir l’élan et l’ambition de nos équipes pour la recherche, la formation et le développement des
soins ».

Il est également relevé que « ces FHU portent sur les véritables enjeux en termes de santé publique présents au sein de
nos deux régions et montrent l’attachement de nos équipes à répondre aux besoins des patients ».

Ces FHU marquent une nouvelle
étape dans la vie de notre groupement G4 et montrent notre volonté conjointe de renforcer nos complémentarités et de
favoriser l’excellence dans le domaine du soin, de l’enseignement et de la recherche

Frédéric Boiron, administrateur du G4 et Directeur Général du CHU de Lille

Les projets lauréats du CHU de Lille sont :

  • 1 000 jours pour la santé : prendre soin avant de soigner « 1 000 jours »
    CHU de Lille – Pr Laurent STORME
  • Santé de précision dans les maladies inflammatoires complexes « PRECISE »
    CHU de Lille – Pr David LAUNAY

Le projet lauréat du CHU de Amiens-Picardie est :

  • Pathogènes, Environnement et Hôte : une approche intégrée en santé respiratoire « RESPIRE »
    CHU d’Amiens – Pr Claire ANDRÉJAK

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Le premier Tour de France 2.0 dédié à la bioproduction, co-organisé par 12 pôles de compétitivité et clusters afin de promouvoir les forces et les spécificités des territoires en vue d’être plus compétitifs à l’international vient d’être lancé.

Paris, le 17 février 2021 – À l’initiative de Medicen Paris Région, Adebiotech, Allis-NA, Atlanpole Biotherapies, BioValley France, Clubster NSL, Eurobiomed, Genopole, Lyonbiopole, Mabdesign, le pôle des microtechniques (PMT) et Polepharma, et en partenariat avec le projet Bioproduction du Contrat Stratégique de filières Industries et Technologies de Santé (CSF ITS), le Grand Défi Biomédicaments, le LEEM et France Biotech, annoncent le premier tour de France des unités de bioproduction en région, le French Bioproduction Tour.  

Cet évènement national inédit a pour mission de promouvoir les acteurs régionaux de la bioproduction, filière qui a été retenue comme un des enjeux stratégiques de la réindustrialisation de la France et de la souveraineté nationale pour les prochaines années. Dans un contexte sanitaire difficile où les territoires ont démontré une capacité de résilience et d’innovation hors du commun, cette initiative s’attachera donc à mettre en exergue leurs expertises.

« Chaque région a des atouts en bioproduction et l’idée est de partager nos expertises et de travailler en complémentarité afin de pouvoir être compétitifs au niveau international. Pour cela, il est nécessaire de bien connaître les acteurs de la bioproduction en région afin de pouvoir renforcer le tissu industriel local et jouer la carte France pour assurer notre indépendance sanitaire et notamment relever le défi de production des bio-médicaments »

explique Julien Ettersperger, Responsable Innovation Santé à Medicen Paris Region, au nom des organisateurs du French Bioproduction Tour.

« Notre objectif est clair : faire de la France un leader en matière de bioproduction. Nous disposons d’un potentiel inégalé en la matière, notamment grâce au réseau d’intégrateurs industriels développés dans les territoires. Aujourd’hui, nous accélérons la dynamique pour mettre à disposition des patients les traitements les plus innovants, au plus vite. C’est le sens de la feuille de route que s’est fixée le Comité Stratégique de Filière qui va conduire à la structuration de toute la filière pour faire émerger les innovations de rupture nécessaires à notre ambition. Cette initiative des Pôles et Clusters Santé vient renforcer cette démarche au sein de nos territoires qui portent l’excellence de la recherche et de l’industrie française et qui constituent autant d’écosystèmes sur lesquels s’appuyer pour renforcer nos capacités. »

indiquent Emmanuel Dequier, Directeur du Grand Défi Biomédicaments et Jacques Volckmann, Président du Board de l’initiative Bioproduction du CSF-ITS.

« Les médicaments biologiques sont désormais incontournables. Face à la complexité de la production et aux besoins croissants à venir des biothérapies, leur production sur notre territoire constitue un enjeu majeur. La France possède un vrai savoir-faire en bioproduction, mais ses capacités sont encore insuffisantes et doivent être absolument soutenues afin d’atteindre des niveaux de production nécessaires aux traitements de nos concitoyens »

précise Olivier Boisteau, Président de Clean Biologics.

« L’évènement » « French Bioproduction Tour » est une initiative intéressante pour mieux connaître les outils ou innovations, présents au niveau national, en matière de Bioproduction. Pour ma part, en tant qu’académique, mon travail de recherche est d’optimiser la conception des anticorps (quel que soit le format) puisque leurs propriétés physicochimiques vont déterminer la suite de leur développement (expression, …) et donc augmenter les rendements à venir en bioproduction. Afin d’arriver à cela, nous devons travailler de manière collaborative pour relever ces challenges ! »

ajoute Nicolas Aubrey, Enseignant-chercheur, Equipe BioMAP, UMR Université de Tours-INRA ISP 1282.

Chaque étape régionale sera organisée directement par les acteurs locaux et permettra de partager la vision stratégique régionale de la bioproduction. Elle mettra en avant les forces et la mobilisation des acteurs académiques, cliniques et industriels locaux à travers l’organisation de tables rondes, de visites virtuelles de sites de bioproduction et d’équipements de haute technologie, etc.

Le French Bioproduction Tour est une initiative nationale composée de 7 étapes régionales virtuelles complémentaires. Atlanpole Biotherapies et Polepharma ont inauguré la première étape du Tour 11 décembre 2020.

Pour plus d’informations sur le French Bioproduction Tour, veuillez contacter Julien Ettersperger : jettersperger@medicen.org

Pour revoir le premier webinaire du French Bioproduction Tour, organisé par Atlanpole et Polepharma le 11 décembre dernier, voici le lien : https://www.youtube.com/watch?v=Hl2Io0qk8DQ&feature=emb_logo

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Les 3 & 4 juin 2021 se tiendra la 22e édition des Entretiens de Nutrition. Cette année, la thématique de la première journée sera “Rendez-vous avec le goût et le plaisir”. La seconde journée sera quant à elle consacrée aux aliments fermentés.

Ce rendez-vous à vocation scientifique, devenu un moment d’échange incontournable autour de la nutrition, est organisé par l’Institut Pasteur de Lille. Le programme scientifique sera basé autour des meilleurs experts avec près de 300 participants (médecins, diététiciens, scientifiques, ingénieurs en nutrition etc.) leur permettant ainsi d’actualiser leurs connaissances sur un sujet précis

 

CONTACTS :

Céline Donck

celine.donck@pasteur-lille.fr

Gabrielle Deray

gabrielle.deray@pasteur-lille.fr

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Les nouvelles approches de prévention et prise en charge de l’obésité. Vivez la Journée Mondiale de l’Obésité avec Le Centre National PreciDIAB !

 

À l’occasion de la Journée Mondiale de l’Obésité, le Centre National PreciDIAB, vous donne rendez-vous jeudi 04 mars de 10h30 à 12h00 sur @PreciDIABCenter pour un live Facebook afin de parler d’obésité, des traitements et de la prévention.

 

->3 experts du domaine seront présents pour faire le point et répondre à toutes vos questions en direct.

 

Au programme :

  • Professeur Jacques WEILL :  “Quel est l’état de la recherche clinique et de l’innovation thérapeutique ?
  • Professeur Philipe FROGUEL : Quelle est la place de la génétique dans l’obésité ?
  • Docteur Odile VÉRIER-MINE : Comment mieux prévenir l’obésité dès l’enfance ?

Pour participer à l’événement, il suffit de cliquer sur “Je participe” depuis la page de l’événement.
Vous pouvez poser vos questions dès maintenant en commentaire sur la page Facebook, elles seront transmises pendant le live!

En partenariat avec l’association Vivons en forme (VIF) et le soutien de l‘Université de Lille, la Faculté de Médecine de l‘Université de Lille, l‘Institut Pasteur de Lille, le CHU de Lille (Centre Hospitalier Universitaire), l‘INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale), le CNRS (Centre national de la recherche scientifique), la fondation I-site ULNE (Université Lille Nord-Europe), l’agence Eurasanté, l’association Prev’Santé MEL ainsi que la MEL (Métropole Européenne de Lille).

 

 

 

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Rencontre avec André Tordeux Président et Pauline Dhordain Market analyst & Project developer chez GenoScreen

« La finalité de GenoScreen est socio-économique. La mission que nous nous donnons est d’exploiter les caractéristiques de l’ADN au service de la santé de l’Homme et de son environnement. »

Pouvez-vous nous expliquer, en quelques mots, la finalité de votre entreprise ?

Lorsque que quelqu’un décide de créer une société c’est toujours avec une intention. S’agissant de créer une biotech, le projet est, le plus souvent, de développer une application ou de conquérir un marché. En ce qui nous concerne, notre intention, à l’origine, était de se lancer dans une aventure entrepreneuriale, mais, plus précisément, de créer et de développer une entreprise avec l’ambition d’accéder à un rayonnement international.

Au demeurant, depuis notre création, nous avons toujours été guidés par l’utilité de nos activités. Ayant choisi de travailler dans la génomique, au fil des années, notre mission s’est affirmée, pour être, aujourd’hui, celle « d’exploiter les caractéristiques de l’ADN au service de la santé de l’Homme et de son Environnement. »

Quels sont vos prochains projets ?

Notre portefeuille d’activité se développe sur trois grands axes.

  • Le premier axe est celui du développement de kits de diagnostic visant à déjouer la résistance de souches pathogènes aux anti-infectieux. A titre d’exemple, nous contribuons activement à lutter contre l’antibiorésistance des germes de la tuberculose, maladie qui fait plus d’1,5 M de morts par an dans le monde. Sur cet axe, nous projetons de lancer 4-5 nouveaux tests au cours des trois années à venir.
  • Le deuxième axe est celui du développement d’outils analytiques de pointe pour explorer les microbiotes et leurs propriétés, afin de répondre aux besoins de chercheurs du monde académique mais aussi de divers secteurs d’activité industrielle. Les champs de recherche et d’application sont nombreux. En santé humaine ou animale, la finalité de nos outils analytiques concerne, aussi bien, l’étude des maladies affectant le système digestif, que l’étude du bénéfice des apports nutritionnels. Nos développements, en la matière, sont essentiellement bioinformatiques et biostatistiques et vont nécessiter, prochainement, des développements qui feront appel à l’intelligence artificielle.
  • Le troisième axe est l’axe services. Nous sommes dans un secteur d’activité qui évolue très vite, avec une demande industrielle en forte augmentation. Aujourd’hui, notre objectif est de développer des expertises et des solutions pour répondre aux besoins d’industriels de la santé, de l’environnement ou de l’agroalimentaire qui parient sur la génomique pour innover, aussi bien au niveau de leurs procédés, qu’au niveau de leurs produits. Sur cet axe, notre carte gagnante est de jouer la proximité afin de bien comprendre les besoins de nos clients pour y répondre au mieux. Ces activités nous amènent souvent à répondre à des demandes de collaboration pour mener à bien des projets de recherche industrielle.

Qu’est-ce que vous qualifieriez comme plus grand fierté ou réussite ?

Aujourd’hui, notre principale fierté c’est d’avoir développé un test diagnostic, nommé « Deeplex® Myc-TB ». Ce test, marqué CE-IVD, constitue une véritable rupture technologique, puisqu’il recourt aux technologies de séquençage de nouvelle génération (NGS) pour établir un diagnostic rapide, précis et sûr de l’antibiorésistance des germes responsables de la tuberculose. Ce test a déjà été acheté par des centres de recherche et des hôpitaux de grand renom, dans 26 pays, répartis sur les 5 continents. Avec ce produit, notre société accède à une visibilité et à une reconnaissance internationale.

Quelles répercutions a eu la crise de la COVID sur votre entreprise ?

La crise de la COVID a eu un impact négatif sur notre entreprise, car une grande partie de notre activité nous conduit à travailler sur du matériel biologique qui nous provient, en général, des hôpitaux. Or, dans le contexte de la crise COVID, les hôpitaux, accaparés en recherche comme en soins par le CORONAVIRUS, n’ont pas pu répondre aux besoins de collecte d’échantillons ou de constitution de cohortes et nos clients, la plupart étant des chercheurs, ont dû, en conséquence, freiner, voire suspendre leurs travaux, ce qui a entrainé une baisse de notre activité de services.

Cette baisse a concerné aussi bien nos débouchés en France qu’à l’étranger, en raison de coupes budgétaires importantes pour les dépenses de santé hors COVID dans nombre de pays où nous proposons nos tests de diagnostic.

Nous avons répondu, durant l’année 2020, à des demandes de recherche de mutations sur le Coronavirus, mais il s’est agi de demandes sporadiques émanant de laboratoires de recherche, sans véritable impact sur notre chiffre d’affaires. Nous devons rappeler, à cet égard, que nous ne sommes pas autorisés à réaliser des diagnostics, à l’instar des hôpitaux et des laboratoires d’analyse médicale. Cette limitation nous a empêché de participer au dépistage, par tests PCR, du Coronavirus.

Pourquoi êtes-vous membre de Clubster NSL, qu’est-ce que cela vous apporte ?

Lors de la création de GenoScreen nous avons été accueillis au Bio-Incubateur et, par conséquent, la société a fait partie des premiers projets de création d’entreprise accompagnés par Eurasanté. Nous faisons donc partie de l’ADN d’Eurasanté.

« Nous sommes membre de Clubster NSL car c’est un réseau dans lequel on peut trouver de l’écoute, du soutien et des solutions. C’est aussi une structure ouverte, accessible et attentive, Nous aurions tort de nous en priver »

Comment définiriez-vous Clubster NSL en 3 mots ?

  • Réseau
  • Innovation
  • Santé

 

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